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Le blog de didier falleur pensées nomades

Paris, la preuve par quatre - Première partie

didier falleur
Paris, la preuve par quatre - Première partie
Paris, la preuve par quatre - Première partie

La première étape passe par la mort, après il ne faudra plus passer que par une résurrection pour accéder au nirvana et c’est bien ce qui est prévu. On oublie Achille pour un temps et on se concentre sur le bonheur d’être dans cette ville. J’ai rendez vous dans le 20° avec la femme qui m’héberge ce weekend. C’est une des pratiques de notre Asso que de proposer aux militants qui se déplacent de dormir chez ceux qui sont là. Ça rend un grand service et on se connait un peu même si on ne s’est jamais vu, on partage les mêmes idées. Donc en attendant de rencontrer Sophie je fais un tour au cimetière...

On ne s’y attendait pas du tout

didier falleur
On ne s’y attendait pas du tout
On ne s’y attendait pas du tout

On ne s’y attendait pas du tout mais commence le cinquième mois de repos forcé et il va vraiment falloir prendre des mesures un peu plus sérieuses. Je m’y attelle donc. Prise de rendez vous pour une IRM. Prise de rendez vous chez un (une) chirurgien (ne) orthopédique spécialiste de la cheville. Ça tombe bien, c’est là que j’ai mal. Elle est associée au toubib qui m’avait opéré du ménisque il y a une douzaine d’années et ça a plutôt bien marché alors faisons lui confiance aussi à la nana. Ça avance, ça avance. J’espère simplement que tout sera réglé, si intervention il y a, pour la reprise des activités...

La tendre indifférence du monde, un film Kazakh de Adilkhan Yerzhanov - 1h39 - 2018

didier falleur
La tendre indifférence du monde, un film Kazakh de Adilkhan Yerzhanov - 1h39 - 2018
La tendre indifférence du monde, un film Kazakh de Adilkhan Yerzhanov - 1h39 - 2018

Une jeune femme (très belle nonobstant) doit quitter son village pour rejoindre ‘son cousin’ à la capitale qui doit l’aider à payer les dettes de sa mère après du décès du père. Ça sent le truc pourri pour elle mais elle est accompagnée par son fidèle ami Kuandyk (amoureux et du genre paysan rustre mais pas que on verra plus tard). Astana n’est pas la capitale d’un pays rêvé même si son architecture résolument moderniste peut faire croire à un pays développé mais la corruption y règne en maitre sous la poigne de fer d’un président réélu avec 95.5% des voix. Le réalisateur développe un sens de la...

Wine Calling, film documentaire de Bruno Sauvard – 2018 - 1h30

didier falleur
Wine Calling, film documentaire de Bruno Sauvard – 2018 - 1h30
Wine Calling, film documentaire de Bruno Sauvard – 2018 - 1h30

Tourné presque exclusivement en Languedoc Roussillon et plus précisément encore dans les Pyrénées Orientales, ce documentaire est une ode à la vie et au bonheur de boire du vin « qui ne donne pas mal à la tête » et c’est même un Japonais que le dit. Il doit savoir de quoi il parle et de quoi il boit. Dans la lignée de la magnifique pièce de théâtre de Sébastien Barrier : « Savoir enfin qui nous buvons », (https://www.youtube.com/watch?v=o5N6O6ivKi0) ce film parle de vin bien sur mais de vins naturels uniquement. Des vignerons, pas spécialistes de la vigne au départ de leur vie décident de se convertir...

Grande –Synthe, la ville où tout se joue – film documentaire de Béatrice Camurat Jaud – 2018

didier falleur
   Grande –Synthe, la ville où tout se joue – film documentaire de Béatrice Camurat Jaud – 2018
Grande –Synthe, la ville où tout se joue – film documentaire de Béatrice Camurat Jaud – 2018

Grande-Synthe est connue pour l’implication de son maire auprès des migrants mais le film de Béatrice Camurat Jaud ne se contente pas uniquement de nous décrire la situation de ces gens dans le contexte actuel même si la situation s’est fortement dégradée depuis les évacuations de Calais. C’est une réflexion globale sur le vivre ensemble dans une région très industrialisée où les entreprises sont détenues à 83% par des capitaux étrangers. A travers la voix de Damien Carême, son maire, des jeunes et de la responsable d’une troupe de théâtre, nous allons déambuler à travers cette ville à la rencontre...

Durant le quatrième mois de convalescence forcée, je prends mon mal en patience.

didier falleur
Durant le quatrième mois de convalescence forcée, je prends mon mal en patience.
Durant le quatrième mois de convalescence forcée, je prends mon mal en patience.

Après la sévère réprimande que n’a pas oublié de me dire en direct le toubib de l’échographie, j’ai du donc réduire la voilure, trois ris dans la grand voile et trinquette à l’avant. Ça n’avance pas beaucoup mais c’est plus raisonnable dans une mer houleuse. Un voyage à Lisbonne, prévu de longue date, où les transports en commun ont permis de se promener tranquillement même si la ville et ses sept collines n’est pas toujours de tout repos et à part des retards d’avions à l’aller comme au retour (« des problèmes de trafic aérien » me dit-on à l’embarquement. Ça risque pas de s’arranger dans le futur),...

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