Libé avait donné l’alerte dès le mois de juin à la suite d’une réunion de ce parti politique au grand dam de sa patronne qui avait pété un câble : » Vous pouvez pas fermer votre gueule ? » Alors on savait mais le week-end approchant, il faut trouver une solution de repli car pas question de se retrouver avec cette horde de dégénérés, leurs bouches tordues par les propos haineux qui en sortent, leurs regards vident de toute intelligence, parcourant la ville en hurlant : « On est chez nous ici !!!! ». Ben voyons….L’exode devant la barbarie à visage inhumain et la fachosphère française qui débarque....
AVERTISSEMENT : la lecture de cette histoire est totalement déconseillée aux personnes trop sensibles car il n’y sera question que de bienveillance, d’échanges, de gentillesse, de vélos à toutes les sauces et tous les âges, de réveil à 6h00 du matin, de musiques, de danses, de repas partagés, de douches froides quand il y en aura, de toilettes sèches, de luttes, de combats contre la voracité de certains au détriment de tous les autres, de l’accaparement des terres agricoles et de l’eau, de bonne humeur, de joie et de tout ce qui fait un moment unique dans une vie……….à peu près………...c’est parti………….
1er...
Du Larzac à Parthenay par la diagonale du vide...ou presque Après avoir laissé filer Jérôme, je descends vers Nant, très beau village au bord de la Dourbie. Quelques courses et je me trompe de route. Je remonte sur le plateau et me voilà à La Cavalerie alors que je voulais suivre la Dourbie jusqu’à Millau. Tantpitte con que je suis. Ça caille encore et je m’offre un bel arrêt dans un petit café au chaud avec un thé. Je profite d’une connexion pour me trouver une hôtel pour ce soir. Un lit et une douche bien chaude ! Le seul problème, c’est que pour rejoindre Millau, C’EST UNE QUATRE VOIES ! Bon...