16 mai 2009
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Et puis mon ami arrive. Je lui fais part de mes réflexions. Il me répond que lui il aime les gens. Mais je n'ai pas dit que je n'aimais pas les gens mais pas forcément ces gens là.
Bon, je me laisse faire et il m'emmène à une terrasse; il veut boire une bière. Pas moi, j'ai envie de rien et de toute façons je freine sur l'alcool.
Et il commence son jeu : et je tourne la tête par ci et je tourne la tête par là, des fois qu'il y aurait une fille dans les parages. En fait, il y en a plein de filles sur cette place et il doit en chercher une nouvelle. Je ne compte plus ses conquêtes, à tel point que lors de la dernière soirée passée chez lui, il y avait trois de ses ex en même temps. Je ne sais pas si elles savaient toutes qu'elles étaient des ex, peut-être une au moins mais c'était grotesque.
Mais cet après-midi, il est seul. La bière est bue et quand la gamine se met à hurler horriblement fort pour montrer une quelconque contrariété, je lui fais signe qu'il est temps de quitter ce lieu. Dès que la place est quittée, le calme revient peu à peu et à l'arrivée dans la cour qui donne sur le cinéma, le calme est tout à fait là. L'homme du jardin qui fait des dessins avec son balai est là; aujourd'hui, nous avons droit à une femme géante au mont de vénus en pyramide de sable.
Au cinéma, il y a aussi un bar et une terrasse. On aurait été bien mieux ici. Je ne sais pas pourquoi il a préféré cette place bruyante; peut-être a cause du choix possible ????? en tout cas , je me sens bien ici et je ne cherche personne en particulier.
Dans la salle, il nous installe trop près mais je ne dis rien. N'empêche, c'était pas très confortable d'avoir à balayer l'écran avec les yeux. Tavernier s'en sort pas trop mal avec le scénario de Burke; pour ceux qui n'ont pas lu le livre, les plans se succèdent vite avec des personnages nouveaux à chaque fois. Pas facile à suivre.
Je rentre direct après le film.
Bon, je me laisse faire et il m'emmène à une terrasse; il veut boire une bière. Pas moi, j'ai envie de rien et de toute façons je freine sur l'alcool.
Et il commence son jeu : et je tourne la tête par ci et je tourne la tête par là, des fois qu'il y aurait une fille dans les parages. En fait, il y en a plein de filles sur cette place et il doit en chercher une nouvelle. Je ne compte plus ses conquêtes, à tel point que lors de la dernière soirée passée chez lui, il y avait trois de ses ex en même temps. Je ne sais pas si elles savaient toutes qu'elles étaient des ex, peut-être une au moins mais c'était grotesque.
Mais cet après-midi, il est seul. La bière est bue et quand la gamine se met à hurler horriblement fort pour montrer une quelconque contrariété, je lui fais signe qu'il est temps de quitter ce lieu. Dès que la place est quittée, le calme revient peu à peu et à l'arrivée dans la cour qui donne sur le cinéma, le calme est tout à fait là. L'homme du jardin qui fait des dessins avec son balai est là; aujourd'hui, nous avons droit à une femme géante au mont de vénus en pyramide de sable.
Au cinéma, il y a aussi un bar et une terrasse. On aurait été bien mieux ici. Je ne sais pas pourquoi il a préféré cette place bruyante; peut-être a cause du choix possible ????? en tout cas , je me sens bien ici et je ne cherche personne en particulier.
Dans la salle, il nous installe trop près mais je ne dis rien. N'empêche, c'était pas très confortable d'avoir à balayer l'écran avec les yeux. Tavernier s'en sort pas trop mal avec le scénario de Burke; pour ceux qui n'ont pas lu le livre, les plans se succèdent vite avec des personnages nouveaux à chaque fois. Pas facile à suivre.
Je rentre direct après le film.